Vivante !
Nourrir la vie, en moi et autour de moi, est ce qui m’anime.
C’est revenir à l’essentiel, à la force de l’élan primordial, au Noyau. Là est notre véritable puissance que le monde actuel tel qu’il fonctionne pourrait nous faire oublier.
Je ressens profondément que c’est maintenant l’heure du choix pour chacun de nous du positionnement, de la souveraineté : qu’est-ce que je choisis de nourrir dans ma vie ? À quoi est-ce que je veux consacrer mon énergie ? Mon élan de vie ?
J’aime ce proverbe, dont j’ai oublié l’origine qui dit, dans l’essence : « Tu ne peux empêcher les oiseaux noirs de tourner au-dessus de ta tête, mais tu peux les empêcher de faire leur nid dans tes cheveux ».
Alors, contribuer à la Vie... vaste programme ! Pour moi, cela commence dans mon quotidien, oui cela commence même par la
contemplation : l’écoute en silence du bruissement de la vie, d’abord en moi, avec la pratique de l’écoute intérieure de ce qui est vivant là en moi, à chaque instant, puis, dans le monde extérieur : piaillements ou sérénades des oiseaux, bourdonnements divers, souffle du vent dans les feuilles des arbres, clapotis de la pluie qui tombe ou caresse du Soleil, ombres et nuances ..
Percevoir la vie, en nous et tout autour de nous, ancre profondément dans l’Être. Alors.. comment contribuer ?
Déjà, par ma pratique professionnelle, dans mon lien au sol qui nous nourrit et nous donne avec tant de générosité si l’on sait le comprendre et collaborer avec lui.
Depuis l’été 2024, ici à Rognes, avec le Tiers Lieu local, nous avons initié un groupe d’échanges et de pratique autour du Sol Vivant* : régulièrement, nous observons et
expérimentons ensemble, joyeusement, en toute humilité et gratitude pour cette vie qui se donne à qui sait la respecter.
Le terme de Sol Vivant me semble être très pertinent et parlant pour désigner une approche révolutionnaire de la manière d’être en relation avec la terre pour la cultiver et obtenir des plantes en pleine santé.
Fini le temps où nous pensions qu’il fallait la dominer, la soumettre avec force engins et s’en servir comme d’un support inerte...
La microbiologie du sol nous a prouvé (lien à écouter) que, s’il n’est pas continuellement perturbé par un travail du sol intrusif ou des produits agressifs, le sol est un organisme vivant capable de se régénérer très rapidement !
Et c’est un cercle vertueux à bien des égards : qualité nutritionnelle des fruits et légumes ; stockage du carbone dans le sol ; plaisir à jardiner.. et meilleure santé mentale et physique !! (liste non exhaustive :-)
Ouvrir d’autres champs des possibles, encore et encore, partager mes savoirs-faire, faire découvrir à d’autres les richesses de la Nature : en 2024, j’ai aussi rejoint le Réseau Racines, qui est né de la rencontre des Civam et d’Accueil Paysan, afin de proposer des accueils diversifiés dans les fermes.
Enfin, un engagement qui me tient particulièrement à coeur de vous partager est mon soutien à l’ASPAS, qui milite pour la défense des animaux sauvages, souvent l’objet de controverses dans le milieu paysan. Ils sont eux aussi des auxilliaires précieux qu’il s’agit de reconnaître.
Par exemple, ici en Provence , les populations de campagnols connaissent un développement exponentiel et occasionnement de nombreux dégâts dans nos champs, car le renard, leur principal prédateur, est encore considéré comme nuisible et impitoyablement traqué.
Là aussi, cessons de penser que nous devons dominer la vie sauvage : l’humanité est maintenant dans son adolescence et doit cesser d’avoir peur de rencontrer le loup en traversant le bois ! Apprenons à collaborer avec le Vivant, au lieu de mettre de l’eau dans le moulin technoscientiste ..
C’est revenir à l’essentiel, à la force de l’élan primordial, au Noyau. Là est notre véritable puissance que le monde actuel tel qu’il fonctionne pourrait nous faire oublier.
Je ressens profondément que c’est maintenant l’heure du choix pour chacun de nous du positionnement, de la souveraineté : qu’est-ce que je choisis de nourrir dans ma vie ? À quoi est-ce que je veux consacrer mon énergie ? Mon élan de vie ?
J’aime ce proverbe, dont j’ai oublié l’origine qui dit, dans l’essence : « Tu ne peux empêcher les oiseaux noirs de tourner au-dessus de ta tête, mais tu peux les empêcher de faire leur nid dans tes cheveux ».
Alors, contribuer à la Vie... vaste programme ! Pour moi, cela commence dans mon quotidien, oui cela commence même par la
contemplation : l’écoute en silence du bruissement de la vie, d’abord en moi, avec la pratique de l’écoute intérieure de ce qui est vivant là en moi, à chaque instant, puis, dans le monde extérieur : piaillements ou sérénades des oiseaux, bourdonnements divers, souffle du vent dans les feuilles des arbres, clapotis de la pluie qui tombe ou caresse du Soleil, ombres et nuances ..
Percevoir la vie, en nous et tout autour de nous, ancre profondément dans l’Être. Alors.. comment contribuer ?
Déjà, par ma pratique professionnelle, dans mon lien au sol qui nous nourrit et nous donne avec tant de générosité si l’on sait le comprendre et collaborer avec lui.
Depuis l’été 2024, ici à Rognes, avec le Tiers Lieu local, nous avons initié un groupe d’échanges et de pratique autour du Sol Vivant* : régulièrement, nous observons et
expérimentons ensemble, joyeusement, en toute humilité et gratitude pour cette vie qui se donne à qui sait la respecter.
Le terme de Sol Vivant me semble être très pertinent et parlant pour désigner une approche révolutionnaire de la manière d’être en relation avec la terre pour la cultiver et obtenir des plantes en pleine santé.
Fini le temps où nous pensions qu’il fallait la dominer, la soumettre avec force engins et s’en servir comme d’un support inerte...
La microbiologie du sol nous a prouvé (lien à écouter) que, s’il n’est pas continuellement perturbé par un travail du sol intrusif ou des produits agressifs, le sol est un organisme vivant capable de se régénérer très rapidement !
Et c’est un cercle vertueux à bien des égards : qualité nutritionnelle des fruits et légumes ; stockage du carbone dans le sol ; plaisir à jardiner.. et meilleure santé mentale et physique !! (liste non exhaustive :-)
Ouvrir d’autres champs des possibles, encore et encore, partager mes savoirs-faire, faire découvrir à d’autres les richesses de la Nature : en 2024, j’ai aussi rejoint le Réseau Racines, qui est né de la rencontre des Civam et d’Accueil Paysan, afin de proposer des accueils diversifiés dans les fermes.
Enfin, un engagement qui me tient particulièrement à coeur de vous partager est mon soutien à l’ASPAS, qui milite pour la défense des animaux sauvages, souvent l’objet de controverses dans le milieu paysan. Ils sont eux aussi des auxilliaires précieux qu’il s’agit de reconnaître.
Par exemple, ici en Provence , les populations de campagnols connaissent un développement exponentiel et occasionnement de nombreux dégâts dans nos champs, car le renard, leur principal prédateur, est encore considéré comme nuisible et impitoyablement traqué.
Là aussi, cessons de penser que nous devons dominer la vie sauvage : l’humanité est maintenant dans son adolescence et doit cesser d’avoir peur de rencontrer le loup en traversant le bois ! Apprenons à collaborer avec le Vivant, au lieu de mettre de l’eau dans le moulin technoscientiste ..
Que voulons nous nourrir ? Me semble être la seule question essentielle.
* si vous souhaitez nous rejoindre, contactez moi !